J’ai mon Aidana,
Elle s’appelle Signe de Tengri,
«Ai-Dana» est la sagesse de la lune.
Mais une autre fille Aidana de la Région Ili,
A consacré ses poèmes au détenu,
Et dans ces vers il y a Shanyrak en feu,
Et dans ces vers il s’agit de l’ami et de l’ennemi.
Mais les Kazakhs ont perdu la Terre,
Même la fille d’Ili comprend que c’est la Fin,
Le cœur est déchiré par une balle de plomb.
Donner la terre Kazakhe aux étrangers
Est la même chose que vendre sa mère.
C’est aussi priver son père de tout et
De reconnaître le régime du gredin!
Et détruire le foyer sacré,
Et condamner les gens à l’obscurité,
Et rendre orphelins les enfants,
En déchirer la poitrine des mères.
Nous, les Kazakhs, sommes un peuple étrange,
Le Tyran-monstre nous gouverne,
Il a vendu tout ce que l’on peut vendre,
Il nous a privés de tout.
«Hey, tu n’est pas le khan, tu es un loup avare !
Ah, Grand Maghambet,
200 ans se sont écoulés.
Aron Atabek, Kazakhstan, Karazhal, УЧ АК-159/22
Mars 2009
un étudiant à la Sorbonne a aidé à la traduction